Tagada Jones Darcy Ravage Club
Tagada Jones
Tagada Jones, c’est l’essence du punk français, mêlée à des influences alternatives, metal et hardcore. Le groupe breton, qui parcourt la France et l’international depuis plus de 30 ans, affiche presque 2000 concerts au compteur ! Une longévité qui s’explique entre autres par sa farouche indépendance et son esprit « Do It Yourself ».
Car le quatuor a trouvé le parfait équilibre entre conscience sociopolitique affûtée et virulence sonore. Porté par des refrains fédérateurs, des guitares mordantes et des cœurs surpuissants, Tagada Jones s’impose en fer de lance de la scène punk-hardcore française. Phénomène francophone inédit partageant l’ADN des Béru, des Shériff, de Parabellum et le goût fougueux de The Exploited ou de Bad Religion, chaque note et chaque parole résonnent comme un appel à l’action.
Darcy
Parler de Darcy, c’est un peu comme monter à bord d’un blindé : inarrêtable et déterminé, le groupe atteint toujours ses objectifs, quel que soit le terrain. Son dernier album « Machines de guerre », est le fruit de cette évolution musicale, empruntant les riffs signature des débuts pour proposer des hymnes puissants et rugissants. Qu’on se le dise, Darcy ne tergiverse pas et fonce droit dans le tas : c’est vindicatif, enragé et particulièrement jouissif en la période. Si les Rennais distribuent les coups, ils entendent gueuler avec sincérité et apporter un peu de fraicheur sur la scène rock hexagonale. Il est en tout cas fort probable qu’ils ne vous laissent pas indifférent !
Ravage Club
C’est en vers et contre tous que ce duo inséparable a choisi le punk et la poésie. Ravage Club, c’est la rencontre sulfureuse entre Patrick Dewaere, les Libertines, Ravage (Barjavel) et Fight Club. Lui, compositeur acharné, elle, obsédée par la littérature. C’est dans la langue de Bashung qu’ielles décident d’être les deux voix impétueuses d’une rage commune. En effet, pendant le premier confinement, le duo déjanté trouve le temps, et surtout l’envie, d’écrire en français sur son rock « à l’anglaise ». Hors-la-loi dans leurs clips et sur leurs visuels, la vie de cavale fait écho à leur quotidien de rockers marginaux, révoltés et en quête de liberté.