Tournée des Trans

Mégadisq Kat White Mac&Wester

samedi 16 novembre 2024
Grande Salle • 20h30
Début : 30 minutes après l'ouverture
Horaire fermeture : 01h00
Placement : libre et debout
Dernier départ de bus : Ligne N1 à 23h27
Gratuit
Les Trans, ce n’est pas qu’au mois de décembre… et pas uniquement à Rennes ! Trois jeunes projets musicaux accompagnés par le festival rennais prennent la route en novembre, à découvrir en avant-première.
Mégadisq© Studio Papier chiffon

Mégadisq

popRennes

Mégadisq est un trio rennais guitare/chant, basse et batterie, auxquels s’ajoutent ponctuellement lap steel, clavier et boîtes à rythmes. Avec des points de repère tels que Blur, St. Vincent ou encore David Bowie, le groupe cultive un certain goût pour la pop aux idées larges. Ce que confirme son premier EP MiniDisq (sorti en juin 2024) avec quatre titres pop rock rythmés et colorés, enrichis de sons synthétiques rétro-futuristes. Pour citer le groupe lui-même : « entre la Brit pop de Blur et une course sur Mario Kart ».

Kat White© Wildyouth

Kat White

folkRennes

Ayant quitté l’Angleterre pour la France à 15 ans, Kat White utilise sa voix, ses paroles (en anglais et parfois en français) et son expérience personnelle pour nous inviter à explorer les ruptures qui nous construisent. Entouré de trois musiciens (à la guitare, à la basse et à la batterie), l’artiste interprète au chant et à la guitare une collection de chansons folk pop, voire rock, dans une approche harmonique et avec une émotion évoquant parfois Jeff Buckley.

Mac&Wester © Zerkalovsky

Mac&Wester

electroRennes

Mac&Wester est un duo rennais de musique électronique qui s’inscrit dans l’héritage des vagues successives de la French Touch (avec comme références Daft Punk, Justice et Gesaffelstein), tout en y injectant l’esprit de sa génération. Après un premier single en 2023, suivi de ses premiers live avec synthétiseurs et batterie électronique, le duo ambitionne aujourd’hui de proposer un show total avec une direction artistique visuelle particulièrement soignée. Une démarche qui se prolonge avec le choix fort de l’anonymat, afin de s’effacer derrière la musique et lui donner ainsi la place centrale qu’elle mérite.